Maxime Fabre est Docteur en Sciences de l’information et de la communication et Maître de conférences dans cette même discipline. Diplômé du Celsa (Sorbonne Université) et de l’Université de Liège, il poursuit des recherches dans le domaine du journalisme, du numérique, des médias et de la sémiotique visuelle. Il est actuellement Mcf à l’UCO Laval, membre du GRIPIC (Sorbonne), du MICA (Bordeaux Montaigne) et du Centre de Sémiotique et de Rhétorique de l’Université de Liège. Il travaille sur la dimension pragmatique et épistémologique de ces objets. Il a publié plusieurs articles dans des revues internationales (Communication & langages, Signata), a soutenu une thèse intitulée "L’image exposée, la représentation des photographies de l’Agence France-Presse sur les réseaux sociaux" sous la direction d’Adeline Wrona et de Sémir Badir, et publié un ouvrage, Photographie de presse. Régimes de croyance en 2020, nommé aux prix de recherche des Assises internationales de journalisme en 2021. Ses activités d’enseignement à l'UCO Laval portent sur le journalisme, les médias, les industries culturelles, la photographie de presse et la sémiotique générale. Il accompagne plusieurs projets de recherche : sur le journalisme : Numapresse (international) ; le numérique : TRANSNUM (Sorbonne Université), et la représentation médiatique des migrations : EMILA (Université Bordeaux Montaigne). En 2013 il a obtenu le prix d’Excellence à l’international décerné par les Conseillers du Commerce Extérieur de Paris après un diplôme universitaire effectué en Roumanie. Passionné de photographie, il a exposé une série d’images sur le thème des "Vestiges" à Târgu Mureș en Transylvanie.