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Colloque international

Management en Séries – Saison 4

Affiche du colloque

Management en Séries – Saison 4

Résumé des épisodes précédents

L'analyse des séries télévisées, en tant que fictions, permet souvent la mise en lumière de phénomènes spécifiques à partir du réel afin d'en dévoiler certains aspects. En cela, les séries constituent un miroir de la société avec lequel les théories managériales peuvent être confrontées. Cependant, l'étude des séries télévisées n'est sortie que récemment d'une relative confidentialité en management, avec, après les travaux de Grimand (2009) sur Les Simpson, de Zundel, Holt et Cornelissen, (2013) ; Holt & Zundel (2014) sur The Wire, d'Agogué et Sardais (2020) ; Sardais et Agogué (2022) sur Game of Thrones ou encore de Szpirglas sur La casa de Papel (Szpirglas, 2023), les trois premières saisons de ce colloque et leurs valorisations. L'ouvrage collectif Management en séries – Saison 1 (Giordano et al., 2025) et un numéro spécial de la Revue Saison1 également paru en janvier 2025 témoignent ainsi de la vitalité et de la diversité potentielles de la recherche en management à partir du matériau sériel et de l'intérêt de l'analyse des séries télévisées comme ressources heuristiques.

Lors des trois premières saisons de Management en Séries, de nombreuses thématiques ont pu être abordées. La saison 12 a permis de révéler les liens étroits, notamment pédagogiques, entre séries et théories managériales, tout en adoptant une posture réflexive facilitant la distanciation avec l'objet d'études. Forte de ces explorations épistémologiques fondatrices, la saison 23 a permis d'aller plus loin dans la mobilisation du matériau sériel comme support à l'analyse et à la déconstruction de phénomènes qui mettent en lumière les questionnements éthiques et pratiques que se posent les organisations contemporaines. La saison 34, quant à elle, a accordé une attention particulière aux dynamiques d'inclusion sociale et aux représentations de la diversité au sein des organisations. Cette saison a mis en lumière la manière dont la fiction sérielle peut devenir un levier critique pour penser autrement les enjeux d'identité, de genre, de handicap ou d'égalité dans les mondes professionnels.

Cette saison dans Management en Séries…

Après le succès des trois saisons précédentes, le prochain colloque se propose d'explorer les liens multiples entre management et séries télévisées, et ce, à travers quatre grands axes :

Axe 1 : La série comme patrimoine culturel et vecteur de valorisation

En 2026, Management en séries sera à Orléans, co-organisé avec l'Université de Tours, au cœur d’une région extrêmement riche en patrimoine et ce thème sera un axe thématique privilégié. La série télévisée ne se limite pas à une œuvre de fiction : elle peut devenir à son tour un objet patrimonial, un vecteur de mémoire, un outil de transmission ou de réappropriation culturelle. Cet axe propose d'analyser la manière dont les séries participent à la fabrique du patrimoine, mais aussi comment elles en sont issues, le mettent en scène, le transforment. Ce champ d'étude invite ainsi à questionner les effets managériaux internes (stratégies de valorisation patrimoniale dans les entreprises culturelles ou territoriales) et les répercussions externes (dynamiques touristiques ou économiques générées par les séries). Il s'agit d'observer comment la série, en tant que produit culturel et narratif, participe à des logiques patrimoniales complexes : patrimonialisation d'un lieu, d'un métier, d'un savoir-faire, mais aussi d'une époque ou d'un imaginaire collectif. On pourra alors, toujours de manière non-exhaustive, s'intéresser aux questions suivantes :

  • Comment certaines séries deviennent-elles elles-mêmes des objets patrimoniaux, conservés, restaurés, célébrés ?
  • Quels sont les ressorts de la patrimonialisation d'une série (culte, classement, réédition, nostalgie partagée) ?
  • Comment les séries participent-elles à la transmission d'un patrimoine immatériel (mémoire générationnelle, culture régionale) ?
  • En quoi les séries rejouent-elles ou reconfigurent-elles des héritages industriels, artisanaux ou symboliques ?
  • Quel est le rôle des territoires dans les récits sériels ? Le lieu filmé devient-il un personnage ou un levier touristique ?
  • Comment les collectivités, musées ou institutions culturelles s'approprient-ils l'univers sériel à des fins de médiation ou de rayonnement ?
  • Quelle place les séries tiennent-elles en tant que médium pour faire vivre le patrimoine aux côtés des documentaires ou expositions ?
  • Le succès touristique de certains lieux de tournage transforme-t-il leur statut patrimonial ?
  • Peut-on parler d'une stratégie consciente de patrimonialisation dans les grandes franchises (rééditions, anniversaires, spin-offs) ?
  • Comment les fans et les communautés numériques participent-ils et elles à la conservation ou à la réactivation patrimoniale des séries ?

 

Axe 2 : Méthodologies d'étude des séries

Si la fiction peut être analysée comme une source de données utile pour explorer l'expérience subjective de la vie organisationnelle (Philipps, 1995) et si le lien entre fiction et organisation a déjà été mis en évidence en théorie des organisations (Savage, 2017), la question se pose de la spécificité du matériau fictionnel des séries et de la spécificité des méthodes d'étude de ce matériau pour la recherche en management.

Comme l'évoque Benassi (2016a), les séries ne sont pas des récits clos comme le sont la majorité des romans et des films de cinéma, mais des récits qui ne semblent pas avoir de limites dans le temps, comme en témoigne l'existence de suites ou dérivées réalisées à distance de certaines séries originelles. Elles reposent sur l'idée d'écoulement temporel. Il y a ainsi « une proximité entre l'expérience esthétique des fictions plurielles de la télévision et l'expérience quotidienne du téléspectateur » (Benassi, 2016a, p. 34). Par ailleurs, la sérialité télévisuelle (ou audiovisuelle) se caractérise par le fait que chaque épisode a sa propre unité. Il s'inscrit dans un ensemble dont il est issu, produit à partir d'une matrice initiale « dont il est non pas la copie parfaite mais une variation (dans le cas de la mise en série) ou une suite (dans le cas du feuilleton) » (Benassi, 2016b, p.2). La série télévisuelle suppose par nature la fragmentation du récit (Wajcman, 2014) dans la cohérence « d'une fiction-monde » qui se présente généralement « comme une véritable modélisation du monde « réel », où l'imprévu peut à tout moment faire irruption dans la routine du quotidien. » (Benassi, 2016b, p.5). Afin de mieux comprendre et prendre en compte la spécificité du matériau fictionnel des récits, cet axe propose, de s'intéresser aux questions suivantes (non exhaustives) :

  • En termes de données, quels sont les apports pour la recherche en management du matériau de la fiction sérielle audiovisuelle au regard d'autres matériaux fictionnels ?
  • Quelle unité d'analyse privilégier pour bénéficier de la richesse du matériau : épisode ? Saison ? Intégrale ?
  • Quelles méthodes d'analyse adopter pour tenir compte de la richesse de ce matériau à la fois récit, image, son, musique... ?
  • Quels sont les critères à privilégier pour sélectionner une série pertinente pour son étude en management : proximité thématique ? Proximité temporelle ? Audience ? Impact sociétal ? Canal de diffusion?
  • Les méthodes d'analyse peuvent-elles être les mêmes pour tous les genres de séries (policières, historiques, romance, comédie, Science-Fiction...) et pour toutes les origines culturelles des séries (nord-américaines, latino-américaines, européennes...) ?

 

Axe 3 : Pédagogie & dialogue avec la société

Les séries, comme toute fiction, représentent des matériaux empiriques à part entière, qui sont utiles pour la recherche à la fois en proposant des représentations spécifiques du réel ou des représentations alternatives du réel opérantes pour construire de la connaissance scientifique (Cavell, 1979). La fiction permet d'aborder les paradoxes et les tensions qui traversent le réel. Par ailleurs, la fiction, mais aussi la fiction sérielle, représentent des communs mobilisables pour la transmission des savoirs et le dialogue des chercheurs avec la société (Laugier, 2019). Les séries constituent ainsi des supports de transmission de connaissances pertinents. Par ailleurs, la série, comme d'autres formes fictionnelles, permet un accès à des phénomènes qu'on sait inaccessibles par l'arsenal des méthodes qualitatives ou qui sont impossibles à décrire ou d'écrire par des narrations habituelles. Elle peut alors créer des possibilités nouvelles, qu'il s'agisse de mettre au jour l'inaccessible ou de le raconter. Afin d'élargir ce champ, cet axe propose d'aborder notamment les questions suivantes (non exhaustives) :

  • Les séries comme moyens d'aborder des sujets sociaux et organisationnels sensibles (harcèlement, violences, domination, etc.). La série est un moyen d'importer les questions sociétales dans l'organisation (environnement et climat, féminisme et mouvement woke, société de consommation, « start-up nation », etc.). Il pourrait aussi s'agir d'appréhender comment les acteurs médiatiques, institutionnels ou militants voient dans certaines séries un matériau susceptible de servir ou nourrir des démarches de sensibilisation de différents publics, voire de lutte contre des phénomènes (par ex. 13 reasons Why, Adolesence, Querer, Des gens bien ordinaires).
  • Les séries comme démarche pédagogique émancipatoire. La série est un objet de culture populaire qui peut résonner plus simplement avec les préoccupations, trajectoires de vie et capital social et culturel d'étudiants qui se sentent à l'écart d’une connaissance académique considérée comme pouvoir et donc (re)productrice de hiérarchies sociales.
  • Les séries comme matériau pertinent pour la diffusion de la recherche critique en management. La série comme support à la déconstruction (« bullshit » managérial, leadership toxique et les divers « -washing » : social-, green-, pink-, great-, etc.).
  • Quelle est la « performance pédagogique » des séries télévisées dans l'enseignement du management ? Dans quelle mesure les fictions sérielles constituent-elles des outils efficaces pour transmettre des savoirs, susciter l'engagement des apprenants et développer des compétences analytiques ? Comment évaluer leur impact sur l'acquisition de connaissances, la compréhension des enjeux managériaux ou encore la capacité à adopter une posture critique ?
  • Les séries comme « fictionnalisation » aux vertus pédagogiques (parcours d'entrepreneurs et/ou d'organisation, grands événements économiques, financiers, etc.). Opportunités et limites de l'utilisation des séries dans la salle de classe. Réactions et retours des étudiants face aux séries utilisées en classe.
  • Les temporalités de la série, vertus et limites. Comment les séries permettent-elles une analyse des défaillances organisationnelles sur des périodes compressées ou prolongées ?
  • Comment les séries abordent-elles les questions éthiques inhérentes au management ? Quels enseignements tirer de ces séries pour la responsabilité sociale des entreprises et la gestion des risques éthiques ? Comment ces narrations peuvent-elles aider les managers à anticiper et à gérer les dilemmes éthiques en entreprise ?
  • Comment les séries influencent-elles l'image que l'on se construit d'un métier ?
  • Comment les séries offrent-elles des laboratoires d'apprentissage pour le management futur ?

 

Axe 4 : Fabrique et diffusion des séries

La série est elle-même un produit et ses conditions de fabrication et de diffusion ont des implications managériales internes (la série comme industrie) et externes (le marché des séries) dont l'analyse constitue un champ à explorer. Les questions qui se posent sont par exemple les suivantes : Comment les séries sont-elles managées ? Comment est organisée la production, notamment autour d'un collectif créatif ? Dans quelle mesure l'industrie audiovisuelle et télévisuelle, mais aussi les industries marketing et touristiques développées autour de ces productions, ont-elles un impact sur les séries elles-mêmes ? Et réciproquement ? Et comment les séries sont-elles reçues, consommées, appréciées, haïes ? C’est à la production des séries télévisées, à leur réception et à leur consommation que cet axe va s'intéresser. Il s'agit ici de donner une place plus centrale aux pratiques de production et de consommation des séries télévisées.

On pourra alors, toujours de manière non-exhaustive, s'intéresser aux questions suivantes :

  • Quel est le management au sein des entreprises de production et de distribution de contenu ? Quel a été par exemple l'impact des grèves des scénaristes ?
  • Comment les plateformes influencent-elles la création originale de contenus et le placement de produits ? Cela entraîne-t-il des modifications de business model ?
  • Quels sont les comportements de consommation des séries ? Y a-t-il des pratiques déviantes (partage de comptes, speed et/ou binge watching (visionnage boulimique, visionnage sur le lieu de travail, etc.) ? Quel est leur contrôle éventuel ? Sont-elles des nouvelles formes de résistance au capitalisme de plateforme ?
  • Quelle réception médiatique pour les séries, quelles audiences ?
  • Comment se constitue une communauté de fans et quelle peut être son influence sur la série ?
  • Comment gérer des franchises ? Quelle est la marchandisation des séries et quelles sont les expériences transmédias proposées (ex. : produits dérivés, visites de studios, de lieux de tournage, etc.) ?
  • Pourquoi une telle fascination pour certaines professions (médicales, justice, renseignement) et pour les activités criminelles (dealers, braqueurs) ?
  • Quels biais idéologiques et politiques induits par les modes de production des séries ?
  • L'industrie des séries a-t-elle des effets en termes de (sur)(sous)représentation des phénomènes et groupes sociaux mais aussi d'isomorphisme sectoriel, de mondialisation des modes de production et de contraintes exercées sur d'autres industries (cinéma, littérature, etc.) ?
  • Quels effets pour les industries créatives de la domination de l'écriture sérielle ? Y a-t-il un « effet plateforme » (ex. : « netflixisation », business models, idéologies sous-jacentes, production, formats, segmentation et diffusion, etc.).
  • Industrie des séries, approches de l'altérité et possibilités « interculturelles ». En quoi la production mondialisée ou l'accès mondial de séries permet de saisir véritablement la pluriversalité des mondes ou de renforcer la production d'un « autre », de différences et d'assignations identitaires ?
  • La place des minorités visibles et invisibles dans la production de séries.

 

1 https://classiques-garnier.com/saison-la-revue-des-series-2024-2-n-8-management-en-series.html
2 Programme complet disponible sur : https://managementserie.sciencesconf.org/
3 Programme complet disponible sur : https://managementseries2.sciencesconf.org/
4 Programme complet disponible sur : https://mgtseries3.sciencesconf.org/

 

Bibliographie :

Agogué M., Sardais C. (2019). Petit traité de management pour les habitants d’Essos, de Westeros et d’ail-leurs, EMS, Paris (Pratiques d’entreprises).

Benassi, S. (2016a). Sérialité (s) et esthétique de la fiction télévisuelle. Belphégor. Littérature populaire et culture médiatique, (14).

Benassi, S. (2016b). Principes de la relation sensible aux séries télé. Décadrages. Cinéma, à travers champs, (32-33), 26-37.

Cavell S. (1979). The world viewed: reflections on the ontology of film. Enl. ed. Cambridge: Harvard University Press.

Giordano F., Pierronnet R., Szpirglas M. & Edey Gamassou C. (Dirs.). (2025). Management en séries – Saison 1 : Scénariser, produire, mettre en scène le management avec les séries TV. EMS Éditions.

Grimand A. (2009). « Fiction, culture populaire et recherche en gestion. Une exploration croisée à travers la série Les Simpsons », Revue française de gestion, 194, n° 4, p. 169-185.

Holt R., Zundel M. (2014). « Understanding Management, Trade, and Society Through Fiction: Lessons from The Wire », Academy of Management Review, 39, n° 4, p. 576-585.

Laugier S. (2019). Nos vies en séries: philosophie et morale d’une culture populaire. Climats. Paris: Climats.

Phillips, N. (1995). Telling Organizational Tales: On the Role of Narrative Fiction in the Study of Organizations. Organization Studies, 16(4), 625-649.

Sardais C., Agogué M. (2022). « La fin du charisme, la chute du personnage de Daenerys dans la série Game of Thrones » Julliot, C. , Lenglet, M., Rouquet, A. (dirs.), Revue française de gestion, 48, n° 303, p. 125-142.

Savage, P., Cornelissen, J. P., & Franck, H. (2017). Fiction and Organization Studies. Organization Studies, 39(7), 975-994.

Szpirglas, P. (2023). Comprendre le management avec la Casa de Papel, EMS

Wajcman, G. (2014). Trois notes pour introduire à la forme «série». La Cause du Désir, 87(2), 42-46.

Zundel M., Holt R., Cornelissen J. (2013). « Institutional Work in The Wire: An Ethological Inves-tigation of Flexibility in Organizational Adaptation », Journal of Management Inquiry, 22, n° 1, p. 102-120.

 

Les modalités d'accès au Campus et d'inscription ainsi qu'une liste d'hôtels seront mises en ligne au fur et à mesure sur le site SciencesConf du colloque.
Calendrier de diffusion
  • Ouverture du site web du colloque et du dépôt des pilotes (short papers) : 5 juillet 2025
  • Clôture de l'envoi des pilotes sur la plateforme SciencesConf : 17 octobre 2025
  • Retour sur les pilotes par les producteur⋅ice⋅s scientifiques : 19 décembre 2025
  • Date limite d'inscription au colloque : 28 février 2026

 

Format des pilotes

5 pages (hors page de titre et bibliographie), 12pt, interligne 1,5, marges : 2 cm (h,b,g,d). Police : Times New Roman. 

Merci d'envoyer vos propositions sur https://mgtseries4.sciencesconf.org/ un fichier anonymisé (+ purge des métadonnées) au format PDF.

 

Normes bibliographiques
  • Ouvrage : Nom de l'auteur et initiale du prénom (date de publication). Titre de l'ouvrage, Éditeur, Lieu d'édition (exemple : Gabison Y. (2016). Devenez le héros de votre vie ! 30 leçons de leadership des héros de séries TV, Eyrolles, Paris.).
  • Article : nom de l'auteur et initiale du prénom (date de publication). « Titre de l'article », Titre de la revue, vol. x, n° x, mois de publication, p. x-y, (exemple : Schweidel D.A., Moe W.W. (2016). « Binge Watching and Advertising », Journal of Marketing, 80, n° 5, p. 1-19.).
  • Chapitre d'ouvrage : nom de l'auteur et initial du prénom (date de publication). « Titre du chapitre », dans initiale du prénom et nom de l'auteur en petites capitales (dir. ou dirs. si plusieurs auteurs), titre du livre, éditeur, p. x-y (exemple : Perrenoud P. (1993). « Curriculum : le formel, le réel, le caché », dans Houssaye J. (dir.), La pédagogie : une encyclopédie pour aujourd'hui, ESF, p. 61-76.)

 

Les auteurs et autrices sont invité⋅e⋅s à utiliser le style Zotero de la Revue française de gestion disponible sur https://www.zotero.org/styles/revue-francaise-de-gestion (style également utilisable sur Mendeley).

 

Pour toute question, vous pouvez vous adresser à : management-series-co-showrunnereuses@groupes.renater.fr

 

Notre colloque valorise depuis ses débuts les travaux d'étudiants, notamment de Master portant sur les liens entre séries télévisées et management. Vous pouvez donc les inciter à soumettre (ou soumettre pour eux en cas de difficulté avec la plateforme) leurs travaux universitaires dans un format libre. Dans ce cas, merci de cocher la case « travaux étudiant⋅e⋅s » lors de la soumission. Ces travaux feront l'objet d'un processus de sélection à part.
Infos pratiques
2-3 Avril
Orléans - Hôtel Dupanloup
Comité d'organisation UCO
Comité d'organisation hors UCO
  • Bernard Bako Liba (Université d'Orléans)
  • Yoann Bazin (Université Paris-Nanterre)
  • Sandrine Benoist (Université d'Orléans)
  • Erwan Boutigny (Université Le Havre Normandie)
  • Charlène Carreteiro (Université d'Orléans)
  • Manon Châtel (Aix-Marseille Université)
  • Aurélie Dudézert (Institut Mines-Télécom Business School)
  • Claire Edey Gamassou (Université Paris-Est Créteil)
  • Florent Giordano (Université de Reims Champagne-Ardenne)
  • Aurore Ingarao (Université d'Orléans)
  • Carol-Anne Loher-Delalune (IAE Angers)
  • Eline Nicolas (Université d'Orléans)
  • Geneviève Paviot (Université d'Orléans)
  • Xavier Philippe (EM Normandie)
  • Romain Pierronnet (Université de Lorraine)
  • Sophie Renault (Université d'Orléans)
  • Sandra Rimbert (Université d'Orléans)
  • Mathilde Szpirglas (Université Gustave Eiffel)
  • Marie-Pierre Vaslet (Université de Tours)
Comité scientifique UCO
Comité scientifique hors UCO
  • Sonia Adam-Ledunois (Université Paris Dauphine-PSL)
  • Marine Agogué (HEC Montréal, Canada)
  • Véronique Attias-Delattre (Université Gustave Eiffel)
  • Bernard Bako Liba (Université d'Orléans)
  • Yoann Bazin (Université Paris Nanterre)
  • Marion Beauvalet (Université Paris Dauphine-PSL)
  • Sandrine Benoist (Université d'Orléans)
  • Marjolaine Boutet (Université Sorbonne Paris Nord)
  • Erwan Boutigny (Université Le Havre Normandie)
  • Anaïs Boutru (Université Paris Dauphine-PSL)
  • Pascal Brassier (IAE Clermont Auvergne)
  • Justine Breton (Université de Lorraine)
  • Charlène Carreteiro (Université d'Orléans)
  • Tarik Chakor (Aix-Marseille Université)
  • Manon Châtel (Aix-Marseille Université)
  • Véronique Chossat-Noblot (Université de Reims Champagne-Ardenne)
  • Jean-Philippe Danglade (KEDGE Business School)
  • Guillaume Detchenique (ESSCA)
  • Aurélie Dudézert (Institut Mines-Télécom Business School)
  • Louise Lecomte (Université Paris Dauphine-PSL)
  • Carol-Anne Loher-Delalune (IAE Angers)
  • Pierre Denmat (Université Paris Nanterre)
  • Rebecca Dickason (Université de Rennes)
  • Loubna Echajari (Université de technologie de Troyes)
  • Claire Edey Gamassou (Université Paris-Est Créteil)
  • Fabien Eymas (Université de Haute-Alsace)
  • Olivier Germain (ESG UQAM, Canada)
  • Florent Giordano (Université de Reims Champagne-Ardenne)
  • Amaury Grimand (Nantes Université)
  • Aurélia Heurteux (Université de Reims Champagne-Ardenne)
  • Aurore Ingarao (Université d'Orléans)
  • Aurore Labadie (Université Sorbonne Nouvelle)
  • Amira Laifi (EM Normandie)
  • Ève Lamendour (La Rochelle Université)
  • Catherine Lespérance (ESCP Business School)
  • Joan Le Goff (Université Paris-Est Créteil)
  • Dorian Marchais (Université de Reims Champagne-Ardenne)
  • Virginie Martin (KEDGE Business School)
  • Régis Martineau (ICN Business School)
  • Delphine Minchella (EM Normandie)
  • Eline Nicolas (Université d'Orléans)
  • Jean-Francis Ory (Université de Reims Champagne-Ardenne)
  • Geneviève Paviot (Université d'Orléans)
  • Stéphan Pezé (Université Toulouse Capitole)
  • Xavier Philippe (EM Normandie)
  • Briac Picart Hellec (Université Le Havre Normandie)
  • Romain Pierronnet (Université de Lorraine)
  • Sophie Rauch (NEOMA Business School)
  • Sophie Raynaud (NEOMA Business School)
  • Sophie Renault (Université d'Orléans)
  • Sandra Rimbert (Université d'Orléans)
  • Aurélie Ringeval-Deluze (Université de Reims Champagne-Ardenne)
  • Émilie Ruiz (Université Savoie Mont Blanc)
  • Lamia Sadoun (Université de Reims Champagne-Ardenne)
  • Alexandre Salvadori (Université Paris-Est Créteil)
  • Monika Siejka (Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines - Université Paris-Saclay)
  • Mathias Szpirglas (Université Gustave Eiffel)
  • Sabrina Tanquerel (EM Normandie)
  • Albéric Tellier (Université Paris Dauphine-PSL)
  • Christelle Théron (Université Toulouse Capitole)
  • Marie-Pierre Vaslet (Université de Tours)
  • Olivier Vidal (Cnam)
  • Jean-Baptiste Welté (Université Bourgogne Europe)
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